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(NB: cette image si 'sensible' (sic) a été empruntée là-bas: http://ledobermanncmax.free.fr/ventes.htm)
(musique: Portishead - Glory Box)
Enivrantes, envoûtantes,
Malheureusement cruelles,
Inaccessibles elles nous hantent
Ces étoiles tellement belles !Virevoltant dans la tourmente,
Elles exposent leurs ailes
Et la beauté béante
De leurs corps si frêles.La lueur scintillante
De ses yeux m'ensorcelle
Sa silhouette d'amante
Et son regard de pucelle.Mi fée, mi-humaine
Elle navigue entre deux mondes.
(Dès) habillée de laine,
Elle est joueuse et blonde.Cette marionnettiste
Qui se joue de tant de cœurs
Cette déesse t'attriste
Causant ton plus grand malheurTu ne te souviens pas
Qui de la femme ou du chat
T'as griffé le plus fort
En jouant avec ton corps.Tu leur pardonnes cependant
De faire couler tout ce sang
Comment leur en vouloir
Victime de leur pouvoir ?
3 commentaires -
La calice du samedi soir
Ses yeux s'abreuvent de ma peine
Cette p'tite dame a l'esprit rêche
Les yeux mi-clos, son sourire me malmène
Je veux fuir, cette garce m'en empêche
Elle habite pas si loin d'ici
Se donne de l'air ou je langui
Cette bibliothèque est ma prison
Et cette femme est un poison
Alors je m'offense, mon âme entière songe
A cette calice exquise
Celle-là même qui m'enfonce
Dans le meilleur de mes vices
Calice du samedi soir
Mon oasis illusoir
Tu me donne l'histoire d'un instant
Un bonheur ma fois bien décent
Et puis le réveil, l'étourderie
Je suis bien loin de ma griserie
Cette ivresse dérobée
A fait place à la nausée.
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