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Avant de partir en coup de vent apprendre à sauver des vies, je poste ce poème que j'ai écrit hier. Voilà...
Une petite fée ricane dans les airs
Elle tourne en rond et poliment se joue
De l'écrivain perdu qui désespère
Il le sait ce roman le rendra fou
Avachi la tête entre les mains
Au bout d'une longue nuit d'insomnies
Rien 'est sorti de son esprit malsain
Que des non-sens ou autres inepties
Et ce vaillant héro qu'en advient-il
Et ce combat et cette princesse
Son histoire ne tenait qu'à un fil
Mais voilà que l'idiot le délaisse
Quand soudain le miséreux se lève
Emprisonnant la fée d'un geste vif
La forçant à négocier une trêve
Sinon à mourir entre ses griffes
Et c'est depuis cette fine ruse
Qu'il n'y a plus d'écrivain sans muse
Vince
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Dans un café....
Une ambiance apaisante, un décor tout en bois
Et pourtant si vivante, il n'y a qu'elle que l'on voit
La serveuse efficace s'affaire constamment
D'un geste vivace, elle sourit gentiment.
Il est mystérieux, le gentleman à-côté
Un comportement bizarre, il n'a pas de café
Il marche partout, et puis, il y a son regard...
Inquiété, finalement, il sort du bar.
La pièce se remplit, je reste coi,
La beauté m'éblouit, je n'ose écrire d'émoi
Me sentant compromis, je vais en rester là.gab
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Me succédant à moi-même dans la catégorie des poèmes dont on se serait sans doute passé sur ce blog, et au risque de faire chuter le nombre de visites pharamineux affiché sur le compteur du site, je mets un nouvel essai entre vos mains expertes. Ce qui m'a inspiré cette fois-ci, c'est l'histoire de Viviane, dame du Lac, amante de Merlin l'enchanteur, dans le récit chevaleresque de (en ce qui concerne ma version) François Johan et Nathalie Vogel "Les Chevaliers de la Table Ronde".
Viviane dame de mes pensées
D'un seul regard tu m'as envoûté
C'était pourtant moi le magicien
Mais dans tes bras je n'étais plus rien
Tu voulais mes secrets de sorcier
Je t'ai tout appris pour un baiser
Je voyais pourtant clair dans ton jeu<o:p>
Malheur à moi j'étais amoureux</o:p>
En amour le cœur bat plus fort
Que l'esprit à qui l'on donne tort
Le dernier sort que je te livrais<o:p>
Garder un homme à tout jamais</o:p>
Et un soir que j'étais endormi
Tu usas de la mortelle magie
Traçant autour de moi neuf cercles<o:p>
Qui aujourd'hui encore m'encerclent
</o:p>Vince
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